La psychophanie : une démarche thérapeutique pour soigner les maux par les mots

La psychophanie : une démarche thérapeutique pour soigner les maux par les mots

Sylvie TerrienSylvie Terrien pratique la Psychophanie à Paris et à distance depuis environ 15 ans. Son activité est décrite dans son site “Lettres à l’être“.

Qu’est-ce que la psychophanie ? Comment se pratique-t-elle ? A quels problématiques propose-t-elle de répondre ? Toutes les réponses ci-dessous.

 

Qu’est-ce que la psychophanie ?

La psychophanie est une pratique thérapeutique qui permet de révéler les contenus émotionnels des personnes, des contenus qui font partie d’elles mais qu’elles n’arrivent pas à exprimer avec des mots et par la parole.

C’est une approche qui permet de transcender les connaissances conscientes des individus et d’accéder à leur essence :

  • en accédant aux enjeux psychiques d’une situation,
  • en dépassant le raisonnable et le raisonné,
  • en accédant à l’inconscient, c’est-à-dire aux motivations profondes qui influencent nos prises de décisions et nos actions, parfois à notre insu,
  • en revenant son héritage familial et son histoire personnelle.

La psychophanie permet alors d’exprimer des pensées qui n’ont pas encore été élaborées par des mots. Elle permet d’accéder à un degré élargi de réflexion sur des problématiques évoquées.

 

L’accompagnement thérapeutique proposé par la pratique de la psychophanie

Sylvie Terrien propose d’accompagner des personnes en complément d’un travail thérapeutique déjà initié par ailleurs ou au long cours.

Sa pratique de la psychophanie constitue une aide à l’élaboration. En effet, il peut arriver que l’absence de réflexes introspectifs ou bien encore la souffrance empêchent l’accès aux mots et au sens. Cela ne constitue pas un défaut mais une réalité de l’aisance ou de la non-aisance de chacun avec les mots et concepts.

La démarche thérapeutique proposée au travers de la psychophanie permet aux individus qui la pratiquent d’avancer sur des sujets complexes. En ayant accès à des informations dont ils n’avaient pas conscience mais qu’ils reconnaissent, ces personnes dépassent leur propre compréhension des sujets traités. Ils débloquent des émotions qui sont rattachées à ces situations.

Ainsi, la psychophanie permet d’agir à deux niveaux :

  • la résolution de problématiques,
  • la compréhension,

en libérant les mots et le sens qui leur est donné.

Chaque phrase énoncée au cours de la thérapie est porteuse d’un sens qu’il est pertinent de détecter et d’affiner pour avancer plus en finesse dans l’accompagnement thérapeutique.

Cette approche est également utilisée lors de séances en présentiel. Le texte vient confirmer le travail fait initialement qui permet d’accéder à un niveau supplémentaire de compréhension et de réorganisation du psychisme.

 

A quelles problématiques la psychophanie permet-elle de répondre ?

La psychophanie constitue un outil qui permet une meilleure connaissance de soi. C’est un outil de soin et de libération. Il peut être utilisé pour répondre à des problématiques de soins très variées qui peuvent être accompagnées est liée à la nature de l’outil. Dans tous les cas, il s’agit de donner du sens à un symptôme lorsqu’il est présumé d’origine psychique tels que :

  • les colères,
  • l’énurésie,
  • le mal-être,
  • les troubles alimentaires,
  • le manque de confiance en soi,
  • les difficultés d’endormissement,
  • etc…

La psychophanie constitue alors un véritable révélateur et un libérateur qui permet de dénouer des problèmes internes ou bien généalogiques.

On peut aussi le percevoir comme un outil poétique qui permet de renforcer l’image de soi et de créer un effet de surprise qui amène à prendre de la hauteur.

 

Le déroulement d’une séance de psychophanie

Une première séance en présentiel est tout d’abord réalisé au cabinet de Sylvie Terrien à Paris. Par la suite, il sera possible de poursuivre l’accompagnement soit en présentiel, soit à distante par visioconférence.

Le thérapeute soutient la main de la personne en consultation dans l’écriture d’un texte spécifique sur un clavier d’ordinateur. Ce texte tient sa spécificité de par :

  • le mode d’écriture utilisé,
  • la syntaxe,
  • les thèmes abordés.

Le consultant écrit le texte lettre après lettre avec une transmission via le mouvement des mains sur le clavier.

 

Les résultats et les bénéfices attendus par la pratique de la psychophanie

La pratique de la psychophanie permet aux personnes qui la pratiquent :

  • d’aller chercher des ressources en soi qu’on aurait pas forcément identifiées,
  • de traverser des périodes délicates/difficiles,
  • de mieux se connaître,
  • de se soulager d’émotions, de se désencombrer l’esprit,
  • d’ouvrir le champ des possibles,
  • d’avoir du recul par rapport à la répétitions de certains comportements.

Sylvie nous parle de l’exemple d’une jeune femme venue la consulter car elle rencontrait des difficultés dans sa vie amoureuse. La séance de psychophanie lui a ainsi permis :

  • de se poser des questions auxquelles elle n’aurait pas forcément pensé,
  • de prendre du recul sur sa situation,
  • de l’éloigner de certains schémas,
  • de ne pas générer de la confusion mentale,
  • de l’aider à analyser la situation et de mieux définir la direction qu’elle souhaitait prendre,
  • de mettre en perspective son histoire personnelle ainsi que ses modèles parentaux.

Ainsi, la psychophanie permet de dépasser ce dont on a conscience et de l’intégrer dans le changement que l’on cherche à atteindre dans son travail thérapeutique. Cette méthode douce, qui s’apparente à de la thérapie brève, permet d’accéder à un meilleur niveau de connaissance de soi, à éclairer le chemin pour mieux se positionner dans sa vie. Ainsi, tout comme par la relaxation profonde active, qui en est issue, la psychophanie permet de créer une réorganisation intérieure qui libère de souffrances ou de fidélités familiales discordantes.

 

Des approches psycho-corporelles pour déjouer les résistances en thérapie :

La relaxation profonde active

Outil thérapeutique en psychologie : visualisation d’un cercle par le patient

Professionnelles de l’accompagnement : Proximité et énergie

psychologue psychocorporel supervision adultes professionnelsAu fil de ses 15 années d’exercice libéral, Aude a fait évoluer ses propositions thérapeutiques. Le fil directeur est une approche humaniste, basée sur les besoins de la personne, dans une dynamique interactive.

Progressivement Aude a développé la méthode de Relaxation Profonde Active. Basée sur l’exploration des sensations du corps comme vecteur d’information, suivi d’un protocole de réparation, de consolation ou d’acceptation selon les situations rencontrées. Cette méthode permet d’aller beaucoup plus loin dans la compréhension historique du patient, que ce qu’il sait en conscience.

Ces outils sont conçus pour être intégrés à une clinique traditionnelle intégrative.

Parents : comment gérer votre charge mentale et lâcher prise avec vos enfants ?

Parents : comment gérer votre charge mentale et lâcher prise avec vos enfants ?

choisir ses combats prendre de la distanceAude de Villeroché est intervenue au cours d’une table ronde sur la thématique du lâcher-prise. Elle vous partage ici ses interventions autour d’un jeu de questions/réponses afin d’aider les parents à gérer leur charge mentale et à lâcher prise.

Cette table ronde était organisée dans le cadre du Sommet « Feel Good », initié par Céline Zemanczyk , spécialiste de la parentalité. Estelle Julien, experte en communication stratégique. Graziella Jofes, ludothécaire fondatrice et gérante de la ludothèque Récréajeux.

 

 

Comment faire pour lâcher prise sans que toute notre existence soit désorganisée ?

Pour lâcher-prise, il est essentiel :

  • de choisir ses priorités,
  • de relativiser l’importance des enjeux,
  • d’accompagner ses enfants dans l’action.

Par exemple, il est important de considérer qu’ils ont besoin d’espace quand ils ont passé une journée à l’école.

On peut aussi réfléchir aux raisons qui nous poussent à formuler telle ou telle demande : est-ce pour se prouver qu’on est un super parent ? Pour le prouver à ses propres parents ? Ou est-ce bien réellement pour le bien-être de chacun ?

 

Comment prioriser les sollicitations de chaque membre de la famille ?

Afin d’aider les parents à gérer leur charge mentale et à lâcher prise,  il faut déjà commencer par vous demander comment prioriser les sollicitations de chacun quand elles semblent toutes importantes tout en sachant qu’il faudra se garder un instant de répit que nous n’avons jamais ?

Il est essentiel de savoir exprimer son besoin et d’apprendre à la personne qui nous sollicite à différer sa demande si le moment n’est pas opportun.

L’anticipation et l’organisation sont les maîtres mots.

Il est également important de s’interroger sur l’autonomie que chacun peut gagner dans cette organisation.

 

Comment gérer ses émotions et celle de son entourage ?

Comment gérer les émotions de chacun (enfants d’âges différents et des parents) quand on est au bord de l’implosion ?

On peut parfois avoir le sentiment de mener une bataille perpétuelle pour que les enfants aillent à l’école ou encore pour qu’ils fassent leurs devoirs (qui leurs semblent idiots, inintéressants).  On s’oblige à ne jamais rien lâcher car on sait que c’est pour leur bien et dans leur intérêt. Mais en contrepartie, on sent que la cocotte va exploser d’un côté comme de l’autre. On se force à ne pas rire pour ne pas hurler quand les enfants essaient de nous tromper, avec des essais systématiques et des stratégies de plus en plus élaborées.

Dans ce genre de situation, il est recommandé de s’isoler afin de récupérer à la fois son énergie et son calme avant de perdre patience.

Il est préférable de prendre du temps pour réfléchir à ce qui nous déborde. Parfois, on peut se rendre compte que ça n’est pas l’action de l’enfant qui peut nous mettre hors de nous mais le fait d’avoir eu trop de sollicitations au travail par exemple.

Il ne faut pas hésiter à parler de ce que l’on ressent à ses enfants ou bien encore à leur faire faire un exercice de relaxation sous forme de jeu, on peut aussi les inviter à réfléchir à une bonne solution pour eux et pour nous. En faisant cela, on les initie à une réflexion sur leurs besoins et les nôtres et on les invite donc à réfléchir à leur comportement et à son impact sur les autres. Ce sont des démarches d’autonomie de pensée qui leur serviront à d’autres occasions.

Si le rire nerveux s’empare de nous, ça n’est pas très grave ! L’essentiel est de réexpliquer ses priorités et ses attentes, ce qui créé de la connivence et de la confiance.

 

Comment impliquer les enfants petits et grands dans le lâcher-prise ?

Le lâcher-prise auprès des enfants petits (8 ans) et des adolescents (14-17 ans) va être différent.

Le plus important est avant toute chose de prendre du recul et de mettre la situation en perspective. Le problème est-il si grave que cela finalement ?  Il ne faut pas oublier que la vie est un long fleuve, et que les enfants se construisent et évoluent chaque jour, peu à peu.

Pour l’enfant encore petit, afin d’éviter un sentiment de trop-plein, il peut être opportun de faire des activités avec lui par exemple.

En ce qui concerne les adolescents, l’écoute est très importante : apprendre à écouter ce qui est important pour lui et trouver des compromis. Lorsqu’on se montre trop rigide, le résultat obtenu est l’inverse de celui attendu.

Pour aider les parents à gérer leur charge mentale et à lâcher prise, je dirais également, que, contrairement à ce que l’attitude des enfants laisse parfois à penser, il ne faut pas oublier que la pression que l’on se met à soi-même, l’enfant et l’adolescent se la mettent également. Les enfants quoi qu’ils en disent parfois, ont à cœur de nous faire plaisir pour s’assurer de notre affection. Les enfants et encore plus les adolescents, ont aussi besoin de tester l’amour inconditionnel de leurs parents, par des provocations qui sont finalement juste des tests et re-tests pour savoir s’ils peuvent bien continuer à compter sur eux.

 

Comment peut-on se faire écouter sans crier ?

Pour cela, il est important de s’exprimer en posant sa voix et de créer un contact visuel avec l’enfant à qui on s’adresse.

Ensuite, on pourra déterminer ensemble l’organisation la plus adaptée à la situation.

D’autres conseils pratiques peuvent être appliqués :

  • le prévenir en respectant le tempo de chacun,
  • répéter les choses plusieurs fois,
  • intégrer ses besoins dans nos horaires,
  • ne pas le considérer comme en opposition par principe,
  • lui parler tout doucement,
  • changer le rythme de ses demandes pour créer de l’attention,
  • créer du jeu.

 

Comment faire en sorte que les enfants rangent leur chambre ?

On leur a appris à ranger leur chambre et pourtant c’est toujours la même chose : on finit par le faire nous-mêmes car sinon c’est la catastrophe.

Il faut savoir que la notion de rangement peut être abstraite pour l’enfant. Pour la matérialiser et l’organisation, on peut par exemple découper le rangement en plusieurs tâches. Cela permettra à l’enfant de comprendre ce qu’il a précisément à faire et ainsi qu’il se sente moins submergé par l’ampleur de la tâche.

De plus, il faut également considérer que l’enfant ne se rend pas toujours compte du désordre dans lequel il est. Un enfant jeune réalise ce qui se situe dans son environnement immédiat et n’a pas de vue d’ensemble. C’est aux parents d’adapter leurs consignes au cerveau encore immature de leur tout petit. Même une consigne comme « mettre les jetons bleus avec les jetons bleus » demande une capacité d’identification et de tri qu’un tout petit ne maîtrise pas toujours. Réaliser cela vous permettra d’être à l’écoute du besoin d’apprentissage de l’enfant, et non dans l’agacement de ce qui n’est pas fait.

Enfin, il convient de redéfinir la notion de « catastrophe ». Ce désordre est-il quelque chose de grave au final ?

 

Comment gérer les mensonges des enfants ?

En premier lieu, il faut être sûr qu’il s’agit d’un mensonge et non d’une réécriture de l’histoire. Il est rare qu’un enfant mente délibérément avec l’intention de tromper l’adulte. Il réécrit l’histoire pour se préserver. L’enfant peut adopter ce comportement pour plusieurs raisons :

  • pour échapper à l’angoisse,
  • pour garder le contrôle,
  • pour maîtriser une situation qui lui échappe.

L’inconvénient de parler de mensonge, de dire « il ne faut pas mentir » est que l’on se situe dans le domaine de la morale, du « c’est bien » ou « c’est mal ». Cela ne permet pas d’élaboration satisfaisante qui fasse grandir vos enfants. Accompagner l’enfant est préférable : lui demander comment il a vécu telle ou telle situation, étant donné qu’il préfère maquiller la réalité pour ne pas s’y confronter, permet de renforcer sa capacité à faire face. L’adulte peut l’aider à trouver des solutions dont il pourra s’emparer. Enfin, il est important de lui demander ce qui se passe pour lui quand il maquille la réalité et de lui faire prendre conscience qu’il est faillible, mais que ce n’est pas grave en soi. Cela permet de dépasser le simple « il ne faut pas faire ça », une injonction qui n’entraîne pas toujours d’adhésion positive de la part de l’enfant et peut faire passer les parents à côté du problème.

En conclusion, pour aider les parents à gérer leur charge mentale et à lâcher prise, il faut retenir que lâcher prise revient donc à bien identifier nos essentiels éducatifs en tant que parents, les besoins derrière ces priorités et enfin dépasser les événements auxquels nous sommes confrontés pour en faire des moments d’exploration pour outiller nos enfants, futurs adultes, dans la gestion de leurs propres émotions, peurs ou compétences

 

 

psychologue psychocorporel supervision adultes professionnels

Au fil de sa pratique thérapeutique, Aude a développé des outils qui lui permettent d’accompagner les personnes vers plus de sérénité et d’autonomie dans leurs choix de vie.

Au moment d’une « crise » comme un changement de vie, maladie, accident, séparation, départ des enfants, deuil, vieillissement parentale, ménopause, mal-être non identifié, expatriation

Nos capacités de réactions peuvent être débordées. Engendrant dépression, burn-out, agressivité, sentiment de solitude et de perplexité, réveil de vielles blessures, perte de confiance en soi.

Aude vous accompagne pour une meilleure connaissance de vous, un éclaircissement de ce que vous vivez : nommer permet de prendre de la distance et d’agir, et le choix et de mode de résolutions.

Son approche est dynamique, basée sur des entretiens interactifs et l’exploration psychocorporelle.

 

 

Le conseil conjugal : améliorer les relations de couple en favorisant l’expression et la communication

Le conseil conjugal : améliorer les relations de couple en favorisant l’expression et la communication

cécile chaban conseillere conjugale francophone amsterdamCécile Chaban est spécialisée en conseil conjugal et expatriée à Amsterdam. Elle nous en dit plus sur l’approche thérapeutique qu’elle propose afin de répondre aux problématiques de couples francophones en présentiel ou à distance en téléconsultation.

Cécile a exercé la profession d’assistante sociale lorsqu’elle vivait en France, auprès de différents publics et sur des problématiques très variées. Suite à son déménagement aux Pays-Bas, elle a exercé différents métiers tout en se familiarisant avec la langue néerlandaise. Toutefois, ses expériences professionnelles ne la satisfont pas entièrement. Elle souhaite exercer une activité qui lui redonnera du plaisir et de la motivation. Passionnée par les relations humaines et les problématiques liées à la vie de couple, elle décide de suivre une formation afin de lancer son activité de conseillère conjugale.

 

 

Répondre à des problématiques de couple liées à l’expatriation

Cécile accompagne un public francophone de couples expatriés composés de femmes et d’hommes qui la consultent en couple ou de façon individuelle. Connaissant elle-même tout ce qu’implique une vie d’expatriés, elle est à même de comprendre les problématiques bien spécifiques auxquels sont confrontés les personnes qui choisissent l’expatriation :

  • le sentiment pour l’un des conjoints de renoncer à certaines choses,
  • le sentiment pour l’autre de se sentir en charge de prendre des décisions pour la famille,
  • une charge organisationnelle liée au départ et à l’installation dans le pays d’expatriation,
  • les problématiques liées à l’apprentissage et/ou l’utilisation d’une nouvelle langue,
  • de la frustration,
  • une sensation d’isolement,
  • le renoncement de l’un des conjoints à son indépendance financière,
  • l’éloignement qui peut se créer quand il y a un déséquilibre entre les conjoints (l’un va vite prendre de nouveaux repères alors que l’autre va rencontrer des difficultés d’adaptation).

La demande de ses consultants est liée à une situation, une préoccupation présente vécue individuellement (pour les consultants qui ne sont pas en couple) ou dans leur couple (des disputes régulières, un questionnement sur une éventuelle séparation, etc.)

Dans un premier temps, Cécile accompagne ses patients en les aidant :

  • à prendre de la hauteur sur ce qu’ils vivent,
  • à observer leur mode de fonctionnement individuel ou dans leur couple.

Dans un second temps et suite à cette phase d’observation, Cécile sera en mesure d’accompagner son consultant dans sa réflexion et de lui proposer de réaliser des exercices concrets pour aller au-delà des concepts et des idées évoqués ensemble.

Dans l’accompagnement thérapeutique qu’elle propose, elle leur permet de passer du « Pourquoi » de la situation vécue au « Comment faire » pour changer la situation dans le futur.

Elle constate souvent que ses consultants ont certaines connaissances sur des solutions potentielles qui pourraient les aider mais qu’ils ne se les sont pas appropriées. Cécile les accompagne afin de conscientiser plus en profondeur des connaissances qu’ils détiennent déjà et à les appliquer dans leur situation de façon concrète.

Permettre une prise de conscience pour améliorer les relations dans le couple

L’approche thérapeutique proposée par Cécile permet aux personnes qui la consultent de mieux comprendre :

  • leur situation de manière globale,
  • leur mode de fonctionnement individuel ou au sein de leur couple,
  • leurs réactions,
  • le cheminement qui les a menées à leur situation présente,
  • les impacts de certains comportements dans leur relation.

Toute ce travail de thérapie, va générer une prise de conscience qui va aider les personnes à modifier plus facilement leurs comportements. Ces changements pourront s’opérer en adéquation avec qui elles sont ou avec ce qu’elles ont envie d’être. Par exemple, par une meilleure connaissance de soi, certaines personnes, qui ne s’autorisaient pas à exprimer leurs besoins, vont prendre conscience à quel point cela est important. Elles vont ainsi :

  • gagner en confiance en elles,
  • restaurer leur estime d’elles-mêmes,
  • entrer en communication de façon claire et sereine avec l’autre,
  • ne plus avoir peur de l’autre (dans les situations de conflits par exemple),
  • etc.

Des changements qui vont également avoir une résonnance sur les différents rôles des individus (en tant qu’homme/mari/époux ou en tant que femme/épouse/mère) et sur la famille plus largement.

Ainsi, un couple qui était constamment dans le conflit va pouvoir :

  • dialoguer de ses points de divergences en les expliquant davantage et dans un mode de communication plus apaisé,
  • améliorer l’entente réciproque, apaiser les tensions et consolider le couple.

Cela fonctionne également pour une personne accompagnée de manière individuelle qui va :

  • mieux se connaître et ainsi construire une nouvelle relation de couple avec une autre personne qui lui correspondra mieux que ses précédentes relations,
  • interagir différemment avec son conjoint, ce qui, même si ce dernier n’aura pas souhaité être intégré dans l’accompagnement thérapeutique, permettra un changement de comportement dans le couple.

Cécile peut également intervenir en accompagnant une personne ou un couple qui pense à se séparer. En réfléchissant conjointement avec ses consultants, elle les amène ainsi :

  • à exprimer leur souffrance,
  • à comprendre les mécanismes qui ont amené à cette réflexion,
  • à échanger à ce sujet dans le respect, l’écoute et l’empathie,
  • à confirmer ou non leur projet par la prise d’une décision,
  • voire à se projeter sereinement dans une relation future.

S’exprimer librement pour retrouver sa place dans le couple

L’approche thérapeutique proposée par Cécile amène ses consultants à s’exprimer librement sur leur situation présente et sur les problématiques qui les touchent. Au fil de la discussion, Cécile peut être amenée à réaliser un focus sur un point particulier sur lequel une réflexion plus approfondie sera menée. Ensuite, par hypothèses, elle accompagne son consultant dans sa réflexion et dans ce qui pourrait être à l’origine du problème qu’il rencontre.

Tout au long du processus d’accompagnement, Cécile guide ses consultants pour :

  • réfléchir sur des points précis,
  • définir leurs peurs, leurs blocages,
  • faire des liens avec des moments qu’ils auraient déjà vécus dans leur vie passée,
  • prendre conscience et donner du sens à des comportements, des paroles, des actions,
  • imaginer des actions qu’ils pourraient mettre en place pour, petit à petit, susciter un changement dans leur situation.

L’objectif étant que chacun retrouve une placeune responsabilité et une liberté d’exprimer comment on ressent les choses, en partant de soi-même, sans entrer dans une confrontation.

Les séances en distanciel par visio que Cécile propose permettent aussi à certains de ses consultants de s’exprimer plus facilement sur des sujets parfois sensibles (dépendance financière, violences conjugales, etc.)

Son accompagnement peut être réalisé sous la forme :

  • de séances à la carte,
  • d’un suivi plus complet avec des échanges par mail entre les séances,
  • d’ateliers thématiques.

L’ensemble de ces modalités de consultation sont réalisées dans le respect du secret professionnel afin d’instaurer une relation de confiance. Le secret professionnel est respecté tant sur le contenu de la séance que sur les participants (dans le cas où un seul des conjoints est reçu).

 

psychologue psychocorporel supervision adultes professionnels

Au fil de sa pratique thérapeutique, Aude a développé des outils qui lui permettent d’accompagner les personnes vers plus de sérénité et d’autonomie dans leurs choix de vie.

Au moment d’une « crise » comme un changement de vie, maladie, accident, séparation, départ des enfants, deuil, vieillissement parentale, ménopause, mal-être non identifié, expatriation

Nos capacités de réactions peuvent être débordées. Engendrant dépression, burn-out, agressivité, sentiment de solitude et de perplexité, réveil de vielles blessures, perte de confiance en soi.

Aude vous accompagne pour une meilleure connaissance de vous, un éclaircissement de ce que vous vivez : nommer permet de prendre de la distance et d’agir, et le choix et de mode de résolutions.

Son approche est dynamique, basée sur des entretiens interactifs et l’exploration psychocorporelle.

 

 

La sophrologie : favoriser la prise de conscience et le lâcher-prise pour retrouver le bien-être

La sophrologie : favoriser la prise de conscience et le lâcher-prise pour retrouver le bien-être

un portrait de Valérie BlaeckeValérie Blaecke a été danseuse professionnelle pendant de nombreuses années. Elle a ensuite démarré un parcours de reconversion professionnelle qui l’a menée vers la sophrologie. Pourquoi a-t-elle choisi de devenir une professionnelle spécialisée dans cette discipline ? De quelle façon accompagne-t-elle les personnes qui viennent la consulter ? Quels résultats la sophrologie permet-elle d’atteindre ?  Autant de questions auxquelles elle répond dans cet article.

 

 

C’est au cours de sa première grossesse que Valérie découvre la sophrologie en étant accompagnée par une sage-femme sophrologue. Intéressée par cette discipline, elle décide toutefois de commencer par étudier la psychologie clinique. Puis, elle étudie la sophrologie pendant deux ans en intégrant l’Ecole de Sophrologie de Montpellier. Rapidement des liens se tissent entre ces différents sujets d’études, au travers de :

  • l’étude du psychisme,
  • la PNL (Programmation Neuro-Linguistique)
  • l’approche corporelle par la danse,
  • la psychologie.

Pour comprendre l’être humain, la sophrologie semble être une méthode complète et adaptée.

 

Qu’est-ce que la sophrologie ?

Fondée en 1959 par le Professeur Alfonso Caycedo (neuropsychiatre), la sophrologie part du postulat que la maladie psychiatrique est une altération de la conscience.  Le terme « sophrologie » signifie par son origine étymologique (grec ancien) :

  • sôs, « bien portant », « harmonie »,
  • phrến, « conscience », « esprit »,
  • logía, « étude », « science ».

C’est la science des valeurs de l’existence et de la conscience.

Dans sa pratique, la sophrologie s’apparente à de la relaxation dynamique qui a pour but de détendre la conscience, de la libérer de tout ce qui la trouble.

La prise de conscience constitue en effet l’une des bases de la sophrologie. Une prise de conscience que les être humains que nous sommes, sont conditionnés de par leur vie en société. Ainsi, la sophrologie nous éclaire sur nos propres conditionnements. Elle permet de définir ceux qui nous ont construits jusqu’à aujourd’hui. Certains de ces conditionnements peuvent devenir limitants une fois arrivés à l’âge adulte. La sophrologie va permettre de les identifier et de nous tourner vers des conditionnements qui nous sont plus favorables.

La sophrologie s’appuie beaucoup sur :

  • le retour au corps, les cinq sens,
  • le mental, par la visualisation (partant du principe que le cerveau ne va pas faire la différence entre quelque chose qui est fortement imaginé et la réalité).

Ainsi la sophrologie touche à « l’expérimenté », au « vivre ».

 

La sophrologie comme réponse thérapeutique à des publics et des problématiques variés

La sophrologie va ainsi permettre de répondre à des difficultés diverses telles que :

  • les douleurs chroniques,
  • la gestion des émotions,
  • la qualité du sommeil,
  • la gestion du stress,
  • la préparation à un événement important,
  • le développement de la confiance en soi,
  • le burn-out parental/professionnel,
  • le TDAH (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité),
  • les troubles DYS (dyspraxie, dysphasie, etc.)

 

Elle s’adresse à des publics variés (enfants, adolescents, personnes adultes, personnes âgées, familles mono parentales, chefs d’entreprises, etc.)

 

Comment se déroule une séance de sophrologie avec Valérie Blaecke ?

Valérie Blaecke accompagne les personnes qui viennent la consulter afin d’atteindre leurs objectifs de mieux-être. Elle propose aussi bien des séances individuelles que collectives, en présentiel ou à distance par visioconférence. Ces séances se décomposent généralement en 4 parties :

  • un moment de dialogue pour déterminer le/les objectif(s) de la séance,
  • une définition de l’intention de la séance et du déroulement de la/des pratique(s) choisie(s),
  • la pratique guidée avec des techniques qui pourront être répétées voire réutilisées en toute autonomie par le consultant, après la séance.
  • un moment de libre d’expression orale ou écrite, au choix du consultant. Une mise en mots qui permet de renforcer l’intégration de la pratique et qui donne des éléments pour orienter la suite de l’accompagnement.

Parfois, il peut arriver que certaines personnes aient besoin d’un temps d’expression plus long. Valérie Blaecke propose alors une seule pratique. La personne venue la consulter peut alors repartir avec des éléments concrets. Un fichier audio de la séance peut également être disponible afin que les consultants puissent s’entraîner de façon autonome, chez eux.

D’autres personnes ont des besoins d’expression moins importants. Cela permet alors de réaliser des séances intenses en pratiques (jusqu’à 2 ou 3 par séance).

 

Quels sont les résultats obtenus grâce à la sophrologie ?

Valérie Blaecke explique que la pratique de la sophrologie favorise la prise de conscience. Même si les personnes attendent surtout des bénéfices de cette pratique, il est déjà important d’être réceptif au vécu de son expérience personnelle, car la connaissance de soi est un aspect fondateur de la sophrologie.

En sophrologie, chaque technique a une intention bien définie. C’est en étant relié à l’intention de ces pratiques que le consultant pourra intégrer tous ses bénéfices, que ce soit dans l’instant comme dans son quotidien. En effet, l’intention manifeste une forme de volonté mais elle s’accompagne également d’un lâcher-prise, d’un accueil sans jugement de ce qui se présente à soi.

Si la personne est trop déterminée ou qu’elle attend un résultat précis, elle risque de rester fermée à de nouvelles possibilités. Mais si, au contraire, elle se montre trop hâtive, elle risque de stagner. Ainsi, l’intention consiste à trouver un subtil équilibre entre le fait de vouloir suivre une direction et d’accueillir de façon bienveillante ce qui se présente sur sa route.

Valérie nous donne l’exemple d’une personne qui était venue la consulter car elle avait développé des troubles du sommeil. Son objectif principal était de se relaxer. Mais au fur et à mesure du déroulement de la séance, cette personne a réalisé que ce n’était pas tant les symptômes du manque de sommeil qu’elle devait maîtriser, mais qu’elle avait plutôt besoin d’un changement de vie et d’orientation personnelle et/ou professionnelle. En réalité, c’était le sentiment qu’elle n’était pas à sa place dans sa vie qui l’empêchait de dormir.

psychologue psychocorporel supervision adultes professionnelsAu fil de ses 15 années d’exercice libéral, Aude a fait évoluer ses propositions thérapeutiques. Le fil directeur est une approche humaniste, basée sur les besoins de la personne, dans une dynamique interactive.

Progressivement Aude a développé la méthode de Relaxation Profonde Active. Basée sur l’exploration des sensations du corps comme vecteur d’information, suivi d’un protocole de réparation, de consolation ou d’acceptation selon les situations rencontrées. Cette méthode permet d’aller beaucoup plus loin dans la compréhension historique du patient, que ce qu’il sait en conscience.

Ces outils sont conçus pour être intégrés à une clinique traditionnelle intégrative.

Du mal-être au mieux-être des patients par la psychologie intégrative, l’exploration psychocorporelle, et l’équitherapie

Du mal-être au mieux-être des patients par la psychologie intégrative, l’exploration psychocorporelle, et l’équitherapie

Marie-julie Djelsen psychologue mind fullnessMarie-Julie Dieltjens est une psychologue clinicienne francophone belge, à présent installée en Belgique. Ses séances sont proposées en présentiel et en ligne.

Elle accompagne les adultes et les adolescents par le biais d’une approche thérapeutique spécifique basée sur la psychologie intégrative et l’approche psychocorporelle.

Elle propose aussi de l’équithérapie et de l’éthologie.

En tant que psychologue, Marie-Julie intervient pour répondre au mal-être de ses patients qui souhaitent aller vers un mieux-être, qu’il soit personnel ou professionnel.

Par le soutien psychologique qu’elle propose, elle apporte son aide à deux catégories de patients bien distinctes. Certaines personnes sont bouleversés par d’importants changements dans leur vie, tandis que d’autre personnes ne bénéficient pas de suffisamment de changement dans leur existence. Elles semblent perdues pour donner une direction à leur vie ou qui ont peur d’aller vers l’inconnu. La thérapie est un accompagnements pour step by step, s’aventurer vers l’inconnu. 

Les symptômes décrits par les patients peuvent être similaire, quand bien même les causes comme les solutions sont très différentes. Fatigue, absence de motivation, manque de sens, sentiment de perplexité et de découragement psychique et physique.

Une séance thérapeutique dans une approche intégrative

Marie-Julie Dieltjens qualifie son approche thérapeutique comme intégrative avec une dimension psychocorporelle importante. Elle a pour objectif de définir la façon optimale de travailler avec chaque patient qu’elle accompagne au cours de séances uniques et particulières.

Au début de chaque séance, il est demandé au patient de prendre un moment de prise de conscience de ce qui se passe dans son corps et dans son esprit à ce moment-là. Il lui est demandé de capturer l’instant en faisant un arrêt sur image.

A partir de ce que va dire le patient, le thérapeute met le doigt sur des sujets plus précis à creuser, sur des thématiques à mettre en lien, à interpréter. Au cours de la séance, le thérapeute peut expliquer certains mécanismes psychologiques. Cela peut aider le patient à mieux comprendre son état et en quoi ce qu’il ressent aujourd’hui peut être lié à des blessures ou à des expériences. Des liens sont ainsi établis entre la situation telle qu’elle est aujourd’hui et celle du passé. Cette étape donnera les clefs au patient afin qu’il puisse mieux s’observer lui-même mais aussi observer ce qui l’entoure.

A la fin de la séance, un temps est consacré à la prise de recul et au retour dans le corps. Il peut être opportun de proposer des exercices de tapping si la personne a montré beaucoup d’émotions. Cela lui permettra de redescendre en douceur et de poursuivre sa journée dans le confort.

Les séances sont parfois énergivores et peuvent être perçues comme intenses par le patient. Il est conseillé de l’en informer au préalable pour qu’il bénéficie d’un temps pour récupérer.

L’idée est de lui permettre d’avancer par petits pas, à son rythme.

Prendre conscience pour se permettre de construire un projet

On ne mesure pas les résultats de cette pratique par la délivrance d’une solution toute faite au patient. C’est déjà lui qui porte en lui un savoir existant que le psychologue va aider à faire émerger. C’est la prise de conscience du patient, de ce qui se passe pour lui, qui est importante. Qu’il puisse développer sa capacité à s’observer avec un regard bienveillant et de démontrer plus d’empathie envers lui-même.

Le patient peut alors prendre confiance en lui et décider de ce qui lui est bénéfique. Il acquiert une certaine autonomie pour prendre des décisions et peut alors construire un projet personnel ou professionnel en correspondance avec ses valeurs.

 

Une histoire vraie, comment la prise de conscience des discordances dans sa vie professionnelle ont permis à Anna de rebondir et de quitter un état dépressif envahissant.

Il y a parfois des idées toutes faites sur ce qu’est un travail de psychologie, parfois aussi des résistances face aux changements qui peuvent etre induits. Levons le voile sur ce qui peut arriver et plus précisément sur ce qu’un psychologue peut apporter:

Anna (le prénom a été changé) est une personne consciencieuse et investie dans son travail. Elle a choisi de consulter Marie-Julie au moment où elle avait le sentiment que plus rien n’allait dans sa vie professionnelle. Elle ressentait de nombreux symptômes physiques et psychiques, avec des problèmes liés au sommeil, des angoisses qui l’empêchaient de retourner travailler. La conséquence de ces symptômes étant une dépression qui commençait à s’installer. Tout ceci conduisant à de nombreux arrêts de travail. Anna ne pouvait identifier la cause de ses symptômes et les subissait péniblement.

L’exposition de ce qu’elle vivait, la mise en lien l’éclaircissement proposé par la thérapeute ont permis de faire émerger les causes de ces souffrances psychologiques : Victime d’un harcèlement au travail, dans une culture d’entreprise où Anna ne se reconnaissait plus, malgré un poste qui la passionnait sur papier. Tout son corps lui signifiait la discordance entre ce qu’elle devait faire dans son milieu professionnel et qui elle était. Une discordance que le harcèlement venait révéler en la fragilisant. 

Marie-Julie l’a ainsi accompagnée dans une démarche de mieux-être : dans un premier temps, en l’aidant à se relaxer, à prendre soin des blessures psychologiques causées par la situation vécue par Anna, en lui faisant accepter de prendre le temps de se soigner, de se faire du bien. Cet accompagnement thérapeutique l’a ainsi amenée à se rendre compte que son travail ne correspondait plus à ce qu’elle souhaitait, ni à ses valeurs. Elle a ensuite quitté son emploi pour en retrouver un nouveau dans lequel elle se sent mieux, qui est plus en concordance avec ses valeurs. Aujourd’hui, Anna connaît mieux ses limites, elle identifie les situations qui pourraient générer un stress trop intense pour elle, et est en mesure de communiquer auprès de sa hiérarchie pour exprimer ce qui ne lui convient pas.

* le prénom réel du patient a été remplacé par un prénom fictif.

Une autre activité proposée car cette psychologue-cavalière : l’équithérapie

Passionnée d’équitation, Marie-Julie a créé son équilibre de vie entre son travail de psychologue, son activité bénévole chez Vienne Accueil, et le plaisir de monter à cheval. Cette passion équestre a entraîné la création d’une offre d’accompagnement thérapeutique « spéciale cavalier », qui est particulièrement rare et très adaptée.

L’équithérapie a déjà montré ses preuves dans l’accompagnement des enfants en difficultés.  Cela démontre le rôle important du lien d’un sujet avec son cheval peut avoir dans la construction du sujet. Maie-Julie Dieltjens ne pratique pas l’équithérapie, en revanche elle a choisi de construire un travail autour de la relation entre les cavaliers et leurs animaux dans son approche d’accompagnement psychologique.

Vous aimeriez vous aussi trouver un équilibre entre tous les aspects de votre personnalité ? Prenez soin de vous dès à présent, inutile d’attendre. Souvent, les personnes hésitent en considérant que cela se construira tout seul. Mais est-il nécessaire de traîner derrière soi pendant longtemps vos interrogations qui vous empêchent de réaliser vos projets dans leur richesses.

Vous trouverez les activités de Marie-Julie Djelsen sur son site internet : Mind full Change

 

psychologue psychocorporel supervision adultes professionnelsAu fil de ses 15 années d’exercice libéral, Aude a fait évoluer ses propositions thérapeutiques. Le fil directeur est une approche humaniste, basée sur les besoins de la personne, dans une dynamique interactive.

Progressivement Aude a développé la méthode de Relaxation Profonde Active. Basée sur l’exploration des sensations du corps comme vecteur d’information, suivi d’un protocole de réparation, de consolation ou d’acceptation selon les situations rencontrées. Cette méthode permet d’aller beaucoup plus loin dans la compréhension historique du patient, que ce qu’il sait en conscience.

Ces outils sont conçus pour être intégrés à une clinique traditionnelle intégrative.

Pin It on Pinterest