Témoignage d’expatriée : Charline D’Avout nous raconte son expérience d’infirmière aux Etats-Unis

Témoignage d’expatriée : Charline D’Avout nous raconte son expérience d’infirmière aux Etats-Unis

Jeune infirmière, alors âgée de 24 ans, avec une courte expérience à Paris et à La Réunion, Charline suit son mari à San Francisco en octobre 2010. « Quelques renseignements pris avant le départ mais pas plus », elle emmène avec elle la volonté de poursuivre son métier en Californie. Rapidement après son arrivée, elle se rapproche du « nursing board » californien, équivalent de notre ordre national infirmier, et démarre ses démarches. Ça tombe bien, la Californie est en manque de professionnels infirmiers. Découvrez son témoignage d’expatriée.

 

Quel parcours a-t-elle suivi pour obtenir l’équivalence des diplômes et pouvoir enfin exercer ?

Le processus est rapidement enclenché avec le board mais les aller-retours avec eux se multiplient et le font durer dans le temps. Les documents demandés s’ajoutant au compte-gouttes, Charline répète les démarches et finalise son dossier près d’un an plus tard. Une fois, ses diplômes français ainsi que les contenus des cours rassemblés, leurs traductions et assermentations obtenues, la voie du « National Council Licensure Examination » s’ouvre à elle. Plus communément appelé le NCLEX, cet examen de licence du Conseil national est le sésame pour obtenir l’agrément des infirmières et ainsi exercer ce métier aux États-Unis.

Un peu plus d’un an après son arrivée à San Francisco, Charline démarre sa première mission de registered nurse américaine.

 

Quelles expériences professionnelles en terre californienne ?

« Le système américain fonctionnant beaucoup sur les recommandations, le premier poste n’est pas forcément aisé à trouver ». L’Etat californien ayant de gros besoins de soignants, Charline débute rapidement une mission bénévole dans un centre de soins pour les personnes n’ayant pas d’assurance santé, appelé free clinic. Cette première expérience de quelques mois se poursuit grâce à un recrutement dans une autre free clinic de San Francisco, où elle exercera 5 années. « Occupant une place assez centrale au sein d’une équipe pluridisciplinaire, cette expérience s’avère très intéressante ».

Charline travaille ensuite pour un centre de soins de suite et de réadaptation à Los Angeles pendant quelques années, pour lequel elle endossera un rôle de management d’autres infirmières. Puis, elle rejoint une start-up travaillant sur l’ouverture d’une nouvelle clinique. Par manque de financement, cette expérience sera de courte durée.

Et très vite après, Charline est recrutée par le Département de Santé Publique de l’Etat de Californie et vit la gestion de la crise du Covid-19 de l’intérieur. « Au départ, recrutée pour renforcer les effectifs et assurer le suivi des cas contacts ou positifs, très vite je bénéficie d’une ascension verticale, avec l’explosion de la pandémie et gère les liaisons entre les centres de vaccination et la direction ».

 

Comment avez-vous géré la barrière de la langue pour travailler ?

« Le temps de s’installer, de prendre ses premières marques et d’initier les démarches auprès du board, puis j’ai rapidement entrepris des cours d’anglais et trouvé un job dans un café pour pratiquer mon anglais, qui datait du lycée. Le langage médical est relativement accessible puisque majoritairement composé de racines latines, donc on s’y retrouve vite. »

 

Quelques conseils pour celles et ceux qui souhaiteraient partir ?

De par son témoignage d’expatriée, Charline explique, qu’idéalement, un départ en expatriation ça s’anticipe ! « Si vous avez le temps, commencez à constituer votre dossier tant que vous êtes en France. L’obtention de certains documents peut prendre du temps et surtout peut exiger des déplacements dans vos anciennes universités. »

Avoir en tête que les démarches seront peuvent être longues, s’attendre à être patient(e) et profiter de ce temps à bon escient pour être opérationnel(le) dès l’agrément en poche.

 

Le témoignage d’expatriée de Charline vous parle ?

Vous allez déménager, car vous êtes conjoint suiveur, et vous appréhendez ? Votre projet de carrière professionnelle nécessite un séjour à l’étranger ?  Vous aimeriez sauter le pas, mais c’est difficile ?  Vous êtes déjà installés et vous vous posez des questions ?

Télécharger dès maintenant le module de formation « Réussir son expatriation quand on est professionnel de santé »

La méthode Barkley : une aide durable pour les parents d’enfants atteints du Trouble Déficit de l’Attention / Hyperactivité (TDAH) ou du Trouble Oppositionnel avec Provocation (TOP) – Par Céline Zemanczyk, experte en parentalité

La méthode Barkley : une aide durable pour les parents d’enfants atteints du Trouble Déficit de l’Attention / Hyperactivité (TDAH) ou du Trouble Oppositionnel avec Provocation (TOP) – Par Céline Zemanczyk, experte en parentalité

Qu’est-ce que le TDAH ?

Le TDAH ou Trouble Déficit de l’Attention / Hyperactivité est un trouble neurodéveloppemental chronique développé chez les enfants et qui se caractérise par la difficulté à moduler :

  • son attention,
  • ses mouvements,
  • ses émotions,
  • son comportement.

Ce trouble touche environ 6% des enfants en âge scolaire et 3% des adultes.

En réalité, nous naissons tous avec un TDAH. Mais en grandissant, nous évoluons avec lui. Nous n’en guérissons pas : nous le compensons.

Ce trouble est héréditaire à 76%.  Les garçons sont plus touchés par ce trouble que les filles (3 garçons pour 1 fille) et, lorsque les filles sont touchées, elles présentent en majorité une prédominance inattentionnelle, c’est-à-dire des difficultés à auto-moduler leur attention.

Le DSM 5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders ou Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux 5ème édition) met en évidence 3 types de présentation clinique :

  • Type 1 : hyperactivité – impulsivité,
  • Type 2 : inattention
  • Type 3 : mixte, qui intègre les Type 1 et 2.

Parmi les enfants qui auront développé un TDAH, 60% développeront un Trouble Oppositionnel avec Provocation (TOP).

 

Qu’est-ce que le Trouble Oppositionnel avec Provocation (TOP) ?

Le TOP est un trouble neuropsychiatrique qui débute dans l’enfance (entre 2-6 ans) et qui va persister au-delà des phases normales du développement de l’enfant (comme la phase d’opposition qui apparaît autour de 2 ans et qui va s’estomper avant 5 ans).

Le TOP se caractérise par :

  • des colères fréquentes, des humeurs susceptibles,
  • de l’opposition active (argumentation, fuite, frappe…),
  • des comportements vindicatifs, (rancœur, désir de vengeance en abîmant volontairement des choses, en tapant, en faisant une crise de colère…)

 

Le quotidien de parents d’enfants atteints de TDAH/ TOP

Voici quelques exemples de situations que peuvent vivre les parents d’enfants atteints par ces troubles.

Violette a 8 ans. C’est une enfant agréable, joyeuse, empathique. Sociable, elle a un nombre incalculable d’amis mais ils sont tous imaginaires. Elle s’occupe toute seule très facilement. Tellement facilement qu’elle est constamment dans son monde. Ses amis imaginaires accaparent toutes les minutes de son temps, si bien qu’elle en oublie très rapidement les routines de la journée (se brosser les dents, s’habiller, prendre le petit-déjeuner), les consignes données par ses parents, son cartable, son agenda, son manteau…et même la présence de ses parents !

Les parents d’Adrien sont inquiets : Adrien a 10 ans et il fait sa rentrée au collège aujourd’hui. Cependant, il n’est toujours pas suffisamment autonome pour s’organiser dans ses leçons et son travail scolaire. Au quotidien à la maison, Adrien fuit les tâches ménagères et après avoir bataillé dur avec lui, ses parents préfèrent faire les choses demandées à sa place.

Jade a 7 ans. Bien qu’elle soit une petite fille formidable, elle est la terreur de sa famille qui redoute ses crises. À la moindre petite frustration, elle se transforme en une tornade qui détruit tout sur son passage : ses affaires volent, les cris fusent et les coups partent si on s’approche d’elle. A l’école, Jade a des difficultés pour lire mais les moindres remarques de son enseignante sont vécues comme des reproches et Jade refuse de suivre les conseils et consignes qui lui sont demandés. Elle n’a presque plus d’amis car elle se fâche tout le temps avec eux.

Sofiane a 6 ans et depuis tout petit, c’est un enfant dit « moteur » car il bouge beaucoup. En classe, rester assis est très compliqué pour lui. Il se lève souvent, passe sous les tables pour ramasser une miette, parle à ses camarades même si l’enseignant le reprend souvent. Lors des activités scolaires, attendre son tour est un pur supplice pour lui.

L’ensemble de ces exemples laisse imaginer toutes les difficultés que peuvent rencontrer les parents de ces enfants atteints de TDAH/TOP. Pour prévenir les complications et apporter un changement positif durable au sein des familles concernées par ces troubles, la méthode Barkley peut alors constituer un outil aidant et efficace.

 

En quoi consiste la méthode Barkley ?

Il s’agit d’une méthode éducative comportementaliste qui permet d’outiller les parents dans leur quotidien avec leur enfant atteint de TDAH et /ou TOP, âgé de 5 à 13 ans, qui a été imaginée par Russel Barkley.

Professeur américain clinique en psychiatrie, Russel Barkley est un expert international reconnu depuis plus de 30 ans dans le domaine du Trouble de Déficit de l’Attention/Hyperactivité (TDAH) chez l’enfant et chez l’adulte. Il exerce en Virginie aux Etats-Unis. Russel Barkley est à l’initiative de nombreuses conférences à l’internationale autour du TDAH.  Sa méthode fait partie d’un programme qu’il a développé et qui est basé sur les concepts des psychothérapies cognitivo-comportementales.

 

A qui s’adresse la méthode Barkley ?

La méthode Barkely s’adresse aux parents qui souhaitent bénéficier d’un outil efficace pour accompagner durablement (ou prévenir) les complications du TDAH/ TOP de leur enfant dans la bienveillance.

Cette méthode constitue un véritable programme d’entraînement aux habiletés parentales. Elle est préconisée par la Haute Autorité de la Santé (HAS) française, par le Canadian ADHD Resource Alliance – CADDRA (au Canada) et le National Institute for Health and Clinical Excellence – NICE (à l’international) dans le contexte d’un diagnostic TDAH.

 

Comme se déroule un accompagnement thérapeutique selon la méthode Barkley ?

L’accompagnement thérapeutique s’articule autour de deux modalités :

  • des séances collectives (groupe de parents),
  • des séances individuelles.

Au total, un accompagnement thérapeutique comprend une dizaine de séances de 1 à 2h chacune.

Les séances ont lieu toutes les 2 ou 3 semaines pour laisser aux parents le temps de mettre en pratique ce qu’ils auront vu lors des séances précédentes et de faire leur retour lors de la séance suivante.

La dernière séance est une séance de bilan qui a lieu à distance de l’accompagnement.

Les tarifs varient selon que les parents choisissent une formule en séances collectives ou individuelles, et selon les professionnels qui la proposent. Il faut compter entre 400 et 600 euros pour un accompagnement individuel et entre 200 et 400 euros pour un accompagnement collectif.

 

Quels sont les bénéfices à long terme de la méthode Barkley ?

La liste des bénéfices de cette méthode est non exhaustive mais les bénéfices à long terme sont nombreux. On peut ainsi constater :

  • un changement positif dans le comportement de l’enfant,
  • une amélioration des capacités sociales de l’enfant,
  • une amélioration de la qualité de la relation parents-enfant,
  • une réduction du stress parental,
  • un renforcement de la confiance en soi et de l’estime de soi de l’enfant,
  • un renforcement de la confiance et de l’estime parentale,
  • la prévention des complications (dépression, anxiété…),
  • la restauration du bien-être familial.

 

Quelles sont les limites de la méthode Barkley ?

Comme toute méthode, la méthode Barkley a ses conditions, ses limites et ses contre-indications.

Il est primordial que les parents fassent équipe avec le thérapeute qui les accompagne dans cette démarche afin de garder une cohérence éducative, ce qui n’est pas évident lorsque les parents sont divorcés ou en situation conflictuelle.

Il est également essentiel que les parents gardent leur calme durant les interventions avec l’enfant. Si la situation familiale est tendue, il est préférable de différer l’intervention et d’attendre que les consultants soient dans de meilleures conditions émotionnelles.

En dernier lieu, si l’un des parents est en burn-out par exemple, la priorité sera qu’il puisse être accompagné et soigné pour son burn-out avant de pouvoir suivre la méthode Barkley.

 

En savoir plus

Céline est experte en parentalité. Elle propose des ateliers d’ados et des accompagnements individuels. Pour en savoir plus à son sujet : https://sites.google.com/view/celine-conseil-education/accueil

 

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Du mal-être au mieux-être des patients par la psychologie intégrative et l’approche psychocorporelle

Du mal-être au mieux-être des patients par la psychologie intégrative et l’approche psychocorporelle

Marie-Julie Dieltjens est une psychologue clinicienne francophone belge, à présent installée à Vienne en Autriche où elle accompagne les adultes et les adolescents par le biais d’une approche thérapeutique spécifique basée sur la psychologie intégrative et l’approche psychocorporelle. Ses séances de suivis sont proposées en présentiel et en ligne. Elle nous explique son approche et sa pratique dans l’interview d’expert menée par Aude de Villeroché (voir la vidéo en fin d’article).

En tant que psychologue, Marie-Julie intervient pour répondre au mal-être de ses patients qui souhaitent aller vers un mieux-être, qu’il soit personnel ou professionnel.

Par le soutien psychologique qu’elle propose, elle apporte son aide à deux catégories de patients bien distinctes :

  • des individus bouleversés par d’importants changements dans leur vie,
  • des personnes qui, ont contraire, ne bénéficient pas de suffisamment de changement dans leur existence, qui semblent perdues pour donner une direction à leur vie ou qui ont peur d’aller vers l’inconnu en faisant un pas vers des choses autres que celles qu’elles connaissent déjà.

 

Des patients qui présentent des symptômes similaires :

  • ils sont fatigués,
  • ils manquent de motivation,
  • ils se sentent épuisés,
  • ils ne trouvent plus de sens dans leur vie personnelle ou professionnelle.

 

Une séance en pratique

Marie-Julie Dieltjens qualifie son approche thérapeutique comme intégrative avec une dimension psychocorporelle importante. Elle a pour objectif de définir la façon optimale de travailler avec chaque patient qu’elle accompagne au cours de séances uniques et particulières.

Au début de chaque séance, il est demandé au patient de prendre un moment de prise de conscience de ce qui se passe dans son corps et dans son esprit à ce moment-là. Il lui est demandé de capturer l’instant en faisant un arrêt sur image.

A partir de ce que va dire le patient, le thérapeute met le doigt sur des sujets plus précis à creuser, sur des thématiques à mettre en lien, à interpréter. Au cours de la séance, le thérapeute peut expliquer certains mécanismes psychologiques. Cela peut aider le patient à mieux comprendre son état et en quoi ce qu’il ressent aujourd’hui peut être lié à des blessures ou à des expériences. Des liens sont ainsi établis entre la situation telle qu’elle est aujourd’hui et celle du passé. Cette étape donnera les clefs au patient afin qu’il puisse mieux s’observer lui-même mais aussi observer ce qui l’entoure.

A la fin de la séance, un temps est consacré à la prise de recul et au retour dans le corps. Il peut être opportun de proposer des exercices de tapping si la personne a montré beaucoup d’émotions. Cela lui permettra de redescendre en douceur et de poursuivre sa journée dans le confort.

Les séances sont parfois énergivores et peuvent être perçues comme intenses par le patient. Il est conseillé de l’en informer au préalable pour qu’il bénéficie d’un temps pour récupérer.

L’idée est de lui permettre d’avancer par petits pas, à son rythme.

 

Prendre conscience pour se permettre de construire un projet

On ne mesure pas les résultats de cette pratique par la délivrance d’une solution toute faite au patient. C’est déjà lui qui porte en lui un savoir existant que le psychologue va aider à faire émerger. C’est la prise de conscience du patient, de ce qui se passe pour lui, qui est importante. Qu’il puisse développer sa capacité à s’observer avec un regard bienveillant et de démontrer plus d’empathie envers lui-même.

Le patient peut alors prendre confiance en lui et décider de ce qui lui est bénéfique. Il acquiert une certaine autonomie pour prendre des décisions et peut alors construire un projet personnel ou professionnel en correspondance avec ses valeurs.

 

Dans les coulisses du cabinet de psychologue

Marie-Julie intervient aussi au sein de l’Association Vienne Accueil où elle propose des ateliers dans le cadre de la création de projets professionnels de conjoints expatriés suiveurs. Le sujet de la gestion des carrières professionnelles tient aussi beaucoup à cœur de Marie-Julie qui a choisi pour cet interview de nous parler d’Anna*, qui s’est expatriée afin d’occuper un poste dans le secteur bancaire.

Anna est une personne consciencieuse et investie dans son travail. Elle a choisi de consulter Marie-Julie au moment où elle avait le sentiment que plus rien n’allait dans sa vie professionnelle. Elle ressentait :

  • des souffrances physiques,
  • des problèmes liés au sommeil,
  • des angoisses,
  • une perte de motivation généralisée.

des symptômes qui l’avaient amenée à être en arrêt de travail à plusieurs reprises.

Ces souffrances psychologiques étaient notamment dues à des différences de cultures dans l’entreprise dans laquelle elle travaillait, mais également à une situation de harcèlement psychologique au quotidien.

Marie-Julie l’a ainsi accompagnée dans une démarche de mieux-être : dans un premier temps, en l’aidant à se relaxer, à prendre soin des blessures psychologiques causées par la situation vécue par Anna, en lui faisant accepter de prendre le temps de se soigner, de se faire du bien. Cet accompagnement thérapeutique l’a ainsi amenée à se rendre compte que son travail ne correspondait plus à ce qu’elle souhaitait, ni à ses valeurs. Elle a ensuite quitté son emploi pour en retrouver un nouveau dans lequel elle se sent mieux, qui est plus en concordance avec ses valeurs. Aujourd’hui, Anna connaît mieux ses limites, elle identifie les situations qui pourraient générer un stress trop intense pour elle, et est en mesure de communiquer auprès de sa hiérarchie pour exprimer ce qui ne lui convient pas.

* le prénom réel du patient a été remplacé par un prénom fictif.

 

Une autre passion de Marie-Julie : l’équitation

Passionnée d’équitation, Marie-Julie a créé son équilibre de vie entre son travail de psychologue, son activité bénévole chez Vienne Accueil, et le plaisir de monter à cheval. Cette passion équestre a entraîné la création d’une offre d’accompagnement thérapeutique « spéciale cavalier », qui est particulièrement rare et très adaptée.

L’équithérapie a déjà montré ses preuves dans l’accompagnement des enfants en difficultés.  Cela démontre le rôle important du lien d’un sujet avec son cheval peut avoir dans la construction du sujet. Maie-Julie Dieltjens ne pratique pas l’équithérapie, en revanche elle a choisi de construire un travail autour de la relation entre les cavaliers et leurs animaux dans son approche d’accompagnement psychologique.

Vous aimeriez vous aussi trouver un équilibre entre tous les aspects de votre personnalité ? Prenez soin de vous dès à présent, inutile d’attendre. Souvent, les personnes hésitent en considérant que cela se construira tout seul. Mais est-il nécessaire de traîner derrière soi pendant longtemps vos interrogations qui vous empêchent de réaliser vos projets dans leur richess

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L’accompagnement parental : favoriser la communication parents/enfants pour retrouver l’harmonie familiale

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Céline Zemanczyk est spécialisée en accompagnement à la parentalité. Elle nous en dit plus sur l’approche thérapeutique qu’elle propose à distance via des consultations/ateliers en ligne pour favoriser la communication parents/enfants.

Educatrice spécialisée de formation depuis, Céline a été amenée à travailler auprès d’enfants, d’adolescents mais aussi de parents depuis une quinzaine d’années. Elle-même maman de deux enfants âgés de 7 et 13 ans, elle s’est rapidement formée et spécialisée en accompagnement parental.

 

Une aide spécifique pour les parents d’enfants à Haut Potentiel

Céline s’est notamment spécialisée sur les questions de précocité de certains enfants dit à Haut Potientiel, qu’elle définit comme un ensemble de spécificités qui sont présentes dans un certain pourcentage de la population.

Ces spécificités ont trait à :

  • un quotient intellectuel supérieur à 130 (lorsqu’il est significatif),
  • un cerveau qui fonctionne plus rapidement, plus efficacement et avec moins d’efforts,
  • une comorbidité, le Haut Potentiel pouvant souvent être associé à un trouble de l’apprentissage, un trouble de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou encore un trouble du spectre de l’autisme (TSA), etc.
  • une dysynchronie, c’est-à-dire un décalage existant dans le développement de l’enfant, entre l’intellectuel, le psychomoteur, l’émotionnel, l’affectif, les attentes de l’extérieur, etc.

A cela peuvent s’ajouter d’autres spécificités telles que :

  • la créativité,
  • la curiosité,
  • l’imagination fertile,
  • le sens de la justice,
  • ou encore des nuits difficiles.

Combiner les outils d’éducateurs avec les besoins des enfants à haut potentiel s’est révélé être une nécessité pour elle dans son quotidien de maman et de professionnelle de la parentalité.

 

L’accompagnement parental pour retrouver un équilibre familial

De par son activité de thérapeute spécialisée sur les questions de parentalité, Céline accompagne les parents qui viennent la consulter car ils rencontrent souvent des difficultés liées au quotidien de leur enfant à haut potentiel. Ces difficultés ont des répercussions sur :

  • l’harmonie familiale,
  • la vie scolaire (apprentissage efficace, motivation scolaire, le stress scolaire, etc.),
  • l’angoisse de performance,
  • les émotions (accompagner les émotions de l’enfant, l’aider avec ses émotions débordantes, etc.),
  • la socialisation (aider l’enfant à se faire des amis, à les garder, à éviter ou faire face aux moqueries aussi..)

Pour accompagner les parents d’enfants ayant développé un trouble de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou un trouble de l’opposition avec provocation (TOP), Céline s’est notamment formée à la méthode Barkley.

 

Une approche thérapeutique personnalisée selon la situation familiale et les besoins des parents pour favoriser la communication parents/enfants

De façon générale, l’objectif de l’accompagnement parental proposé par Céline consiste à soutenir les parents dans les difficultés qu’ils rencontrent, de les aider et de faire en sorte que la situation avec leur enfant s’améliore afin qu’ils :

  • retrouvent l’harmonie et le bien-être familial,
  • renforcent leurs compétences parentales (en étant plus sereins, plus estimés en tant que parents, davantage maîtres de leurs ressources personnelles, etc.)

En tant qu’éducatrice, elle leur donne ainsi des clés, des outils, des propositions, pour que la situation s’améliore à la maison, en tenant compte des valeurs des parents et des besoins de chacun.

L’accompagnement thérapeutique proposé par Céline démarre toujours par un premier contact par e-mail ou par téléphone, au cours duquel elle échange avec eux. Suite à cette première prise de contact, elle envoie un petit document avec quelques questions ciblées et une proposition d’accompagnement détaillée. Une fois que les parents sont d’accord sur sa proposition, elle leur fixe un premier rendez-vous.  Les séances d’une durée de 45 minutes minimum se déroulent en visio.

Céline organise également des ateliers spécifiques aux adolescents, sur inscription. En amont de l’inscription, elle réalise un échange téléphonique afin de répondre aux questions des parents et surtout s’assurer que le contenu de l’atelier est clair pour eux et correspond à leurs attentes.

 

Un exemple d’accompagnement parental : rétablir la communication parent/ado 

Céline a eu l’occasion d’accompagner une maman en difficulté avec son garçon de 15 ans. Cette maman souhaitait être accompagnée afin de restaurer la communication avec son fils qui était alors inefficace et conflictuelle. En effet, la maman comme son ado restaient chacun sur ses gardes en se positionnant tour à tour comme attaquant ou défenseur. Au final, cela traduisait surtout beaucoup de souffrance chez l’un comme chez l’autre.

Après avoir réalisé un travail autour du cadre et de l’organisation familiale et autour des attentes de la maman, Céline a ains pu lui donner quelques pistes pour mieux communiquer avec son ado, comme par exemple :

  • de planifier un temps en famille une fois par semaine,
  • d’organiser un temps privilégié avec son ado autour d’un jeu, d’une visite, d’une balade, etc.
  • de prendre du recul sur ses attentes de cette maman vis-à-vis de son garçon et de ses propres besoins.

En suivant les recommandations de Céline, la communication entre cette maman et son ado s’est peu à peu rétablie au fil des mois et leur complicité s’est développée.

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Cécile Chaban est spécialisée en conseil conjugal et expatriée à Amsterdam. Elle nous en dit plus sur l’approche thérapeutique qu’elle propose afin de répondre aux problématiques de couples francophones en présentiel ou à distance en téléconsultation.

Assistante sociale de formation, Cécile a exercé cette profession lorsqu’elle vivait en France, auprès de différents publics et sur des problématiques très variées. Suite à son déménagement aux Pays-Bas, elle a exercé différents métiers tout en se familiarisant avec la langue néerlandaise. Toutefois, ses expériences professionnelles ne la satisfont pas entièrement. Elle souhaite exercer une activité qui lui redonnera du plaisir et de la motivation. Passionnée par les relations humaines et les problématiques liées à la vie de couple, elle décide de suivre une formation afin de lancer son activité de conseillère conjugale.

 

Répondre à des problématiques de couple liées à l’expatriation

Cécile accompagne un public francophone de couples expatriés composés de femmes et d’hommes qui la consultent en couple ou de façon individuelle. Connaissant elle-même tout ce qu’implique une vie d’expatriés, elle est à même de comprendre les problématiques bien spécifiques auxquels sont confrontés les personnes qui choisissent l’expatriation :

  • le sentiment pour l’un des conjoints de renoncer à certaines choses,
  • le sentiment pour l’autre de se sentir en charge de prendre des décisions pour la famille,
  • une charge organisationnelle liée au départ et à l’installation dans le pays d’expatriation,
  • les problématiques liées à l’apprentissage et/ou l’utilisation d’une nouvelle langue,
  • de la frustration,
  • une sensation d’isolement,
  • le renoncement de l’un des conjoints à son indépendance financière,
  • l’éloignement qui peut se créer quand il y a un déséquilibre entre les conjoints (l’un va vite prendre de nouveaux repères alors que l’autre va rencontrer des difficultés d’adaptation).

La demande de ses consultants est liée à une situation, une préoccupation présente vécue individuellement (pour les consultants qui ne sont pas en couple) ou dans leur couple (des disputes régulières, un questionnement sur une éventuelle séparation, etc.)

Dans un premier temps, Cécile accompagne ses consultants en les aidant :

  • à prendre de la hauteur sur ce qu’ils vivent,
  • à observer leur mode de fonctionnement individuel ou dans leur couple.

Dans un second temps et suite à cette phase d’observation, Cécile sera en mesure d’accompagner son consultant dans sa réflexion et de lui proposer de réaliser des exercices concrets pour aller au-delà des concepts et des idées évoqués ensemble.

Dans l’accompagnement thérapeutique qu’elle propose, elle leur permet de passer du « Pourquoi » de la situation vécue au « Comment faire » pour changer la situation dans le futur.

Elle constate souvent que ses consultants ont certaines connaissances sur des solutions potentielles qui pourraient les aider mais qu’ils ne se les sont pas appropriées. Cécile les accompagne afin de conscientiser plus en profondeur des connaissances qu’ils détiennent déjà et à les appliquer dans leur situation de façon concrète.

 

Permettre une prise de conscience pour améliorer les relations dans le couple

L’approche thérapeutique proposée par Cécile permet aux personnes qui la consultent de mieux comprendre :

  • leur situation de manière globale,
  • leur mode de fonctionnement individuel ou au sein de leur couple,
  • leurs réactions,
  • le cheminement qui les a menées à leur situation présente,
  • les impacts de certains comportements dans leur relation.

Toute ce travail de thérapie, va générer une prise de conscience qui va aider les personnes à modifier plus facilement leurs comportements. Ces changements pourront s’opérer en adéquation avec qui elles sont ou avec ce qu’elles ont envie d’être. Par exemple, par une meilleure connaissance de soi, certaines personnes, qui ne s’autorisaient pas à exprimer leurs besoins, vont prendre conscience à quel point cela est important. Elles vont ainsi :

  • gagner en confiance en elles,
  • restaurer leur estime d’elles-mêmes,
  • entrer en communication de façon claire et sereine avec l’autre,
  • ne plus avoir peur de l’autre (dans les situations de conflits par exemple),
  • etc.

Des changements qui vont également avoir une résonnance sur les différents rôles des individus (en tant qu’homme/mari/époux ou en tant que femme/épouse/mère) et sur la famille plus largement.

Ainsi, un couple qui était constamment dans le conflit va pouvoir :

  • dialoguer de ses points de divergences en les expliquant davantage et dans un mode de communication plus apaisé,
  • améliorer l’entente réciproque, apaiser les tensions et consolider le couple.

Cela fonctionne également pour une personne accompagnée de manière individuelle qui va :

  • mieux se connaître et ainsi construire une nouvelle relation de couple avec une autre personne qui lui correspondra mieux que ses précédentes relations,
  • interagir différemment avec son conjoint, ce qui, même si ce dernier n’aura pas souhaité être intégré dans l’accompagnement thérapeutique, permettra un changement de comportement dans le couple.

Cécile peut également intervenir en accompagnant une personne ou un couple qui pense à se séparer. En réfléchissant conjointement avec ses consultants, elle les amène ainsi :

  • à exprimer leur souffrance,
  • à comprendre les mécanismes qui ont amené à cette réflexion,
  • à échanger à ce sujet dans le respect, l’écoute et l’empathie,
  • à confirmer ou non leur projet par la prise d’une décision,
  • voire à se projeter sereinement dans une relation future.

S’exprimer librement pour retrouver sa place dans le couple

L’approche thérapeutique proposée par Cécile amène ses consultants à s’exprimer librement sur leur situation présente et sur les problématiques qui les touchent. Au fil de la discussion, Cécile peut être amenée à réaliser un focus sur un point particulier sur lequel une réflexion plus approfondie sera menée. Ensuite, par hypothèses, elle accompagne son consultant dans sa réflexion et dans ce qui pourrait être à l’origine du problème qu’il rencontre.

Tout au long du processus d’accompagnement, Cécile guide ses consultants pour :

  • réfléchir sur des points précis,
  • définir leurs peurs, leurs blocages,
  • faire des liens avec des moments qu’ils auraient déjà vécus dans leur vie passée,
  • prendre conscience et donner du sens à des comportements, des paroles, des actions,
  • imaginer des actions qu’ils pourraient mettre en place pour, petit à petit, susciter un changement dans leur situation.

L’objectif étant que chacun retrouve une placeune responsabilité et une liberté d’exprimer comment on ressent les choses, en partant de soi-même, sans entrer dans une confrontation.

Les séances en distanciel par visio que Cécile propose permettent aussi à certains de ses consultants de s’exprimer plus facilement sur des sujets parfois sensibles (dépendance financière, violences conjugales, etc.)

Son accompagnement peut être réalisé sous la forme :

  • de séances à la carte,
  • d’un suivi plus complet avec des échanges par mail entre les séances,
  • d’ateliers thématiques.

L’ensemble de ces modalités de consultation sont réalisées dans le respect du secret professionnel afin d’instaurer une relation de confiance. Le secret professionnel est respecté tant sur le contenu de la séance que sur les participants (dans le cas où un seul des conjoints est reçu).

Aujourd’hui, Cécile a rejoint le réseau Soignants dans le Monde avec l’envie de retrouver une ambiance de travail en équipe et de bénéficier d’un réseau de praticiens vers lesquels elle peut éventuellement rediriger les personnes qu’elle accompagne. Le réseau Soignants dans le Monde lui permet également d’échanger avec d’autres soignants, de bénéficier de conseils pratiques et d’enrichir sa pratique.

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Aurélie Hili

Aurélie Hili-Grosfilley est naturopathe. Elle a également créé son entreprise, dédiée à cette pratique, Naturophila. Dans le passé, elle s’est expatriée à Philadelphie et à Budapest. A présent, elle propose des accompagnements en ligne depuis le sud de la France. Dans cet article, Aurélie nous explique ce qu’est la naturopathie et ce que sa pratique apporte à ses consultants.

 

Qu’est-ce que la naturopathie ?

La naturopathie est une approche thérapeutique encore mal connue par la plupart des gens.  Aurélie Hili la définit comme une discipline de santé dont la pratique touche à l’hygiène de vie. En effet, la naturopathie est construite à partir de l’adaptation de l’hygiène de vie et de l’alimentation en vue de préserver sa santé.

Lorsqu’on a recours à la naturopathie, on souhaite avant tout devenir acteur de sa santé et la reprendre en main. L’objectif :

  • prévenir l’apparition de pathologies,
  • comprendre les causes de pathologies déjà présente, en régler les causes

La naturopathie permet ainsi une connaissance approfondie de son propre organisme et de son fonctionnement et l’amélioration de son état général par l’application de règles et techniques naturelles.

 

La naturopathie en 10 techniques

Dix techniques naturelles fondent la naturopathie. Il s’agit de :

  • l’activité physique,
  • l’alimentation,
  • la gestion du stress,
  • l’aromathérapie ou l’utilisation des huiles essentielles,
  • la gemmothérapie (fleurs de Bach, compléments alimentaires à base de plantes, bourgeons de plantes, etc.).
  • la phytothérapie ou technique par les plantes,

 

Consulter un naturopathe : pour quoi faire ?

Un naturopathe peut intervenir dans deux cas de figure :

  • le patient a développé une pathologie, un trouble, son organisme est déréglé, il ressent des tensions, etc. et il n’a pas trouvé de réponse au cœur du parcours de soins traditionnel. Ces maux peuvent concerner des problèmes digestifs, des problèmes de peau (urticaire, eczéma, acné), des allergies/intolérances alimentaires, une fatigue chronique, du surpoids, de l’arthrose, etc.
  • le patient n’a aucune pathologie mais il souhaite modifier son hygiène de vie afin rester en bonne santé le plus longtemps possible ; il est en recherche d’enseignements pour conserver sa santé et l’optimiser afin de prévenir l’apparition de pathologies.

 

Le naturopathe va l’accompagner de façon complémentaire à un parcours de soins médicaux dont pourrait déjà disposer le consultant.

 

Comment se déroule un accompagnement par un naturopathe ?

Lors d’une première séance en naturopathie, le praticien commence par réaliser une anamnèse : un questionnaire de santé qui permet de mieux connaître le consultant.

Cette anamnèse va notamment lui révéler l’état des émonctoires du consultant, une notion essentielle en naturopathie. En effet, il faut savoir que notre organisme héberge tout un tas de toxines qui sont des déchets tout à fait légitimes qui peuvent provenir :

  • de la pollution,
  • des pesticides,
  • d’une alimentation déséquilibrée,
  • de résidus de médicaments,
  • etc.

Les problèmes surviennent lorsque notre corps ne parvient pas à se débarrasser de ces déchets. C’est là que les émonctoires interviennent en tant que portes de sortie de ces déchets de notre organisme.

On peut dénombrer 6 émonctoires :

  • la peau, qui élimine les toxines par la transpiration ou par le sébum,
  • les reins, qui éliminent les déchets dans les urines,
  • le foie et les intestins, qui se débarrassent des toxines par les selles,
  • les poumons qui permettent d’expectorer les déchets par le dioxyde de carbone que l’on expire ou par le mucus,
  • l’utérus chez les femmes, qui se débarrasse des déchets mensuellement avec les menstruations.

Ainsi, on imagine bien que pour que l’organisme fonctionne bien, ses émonctoires doivent également bien fonctionner ! C’est l’analyse menée par le naturopathe avec l’anamnèse.

Au-delà des émonctoires, le naturopathe va également analyse en profondeur l’alimentation du consultant.

Suite à ces recherches, le naturopathe va ensuite préparer un compte-rendu, appelé « programme d’hygiène vitale » qui contient :

  • un plan d’actions à mettre en place avec le consultant,
  • la recommandation de prise de compléments alimentaires,
  • etc.

 

Un exemple d’accompagnement en naturopathie

Citons l’exemple d’un consultant accompagné par Aurélie dans son cabinet puis à distance par visioconférence.

Cette personne était venue la consulter pour les motifs suivants :

  • du stress,
  • un surpoids.
  • des intolérances alimentaires,

Aurélie a construit son accompagnement autour d’un rééquilibrage alimentaire du consultant. Pendant un mois, elle a planifié ses menus hebdomadaires et rédiger des recettes adaptées aux différents troubles du patient ainsi que les listes de courses correspondantes.

Résultat : les troubles de ce patient ont disparu au bout de 6 mois avec, en plus, une perte de poids de 10 kg.

Un bel exemple que la naturopathie, grâce à des techniques et des moyens naturels, peut venir répondre à des problématiques ciblées pour viser une amélioration notable et durable de l’état de santé des individus.

 

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